Le blog de passact34

Suite a la vidéo postée a la suite, voici la réponse de notre ami lailatvx ,

 formidable conteur !, c"est du réel lailatvx ???.. 

 

 

Mon amant Jamal


Jamal m’appelle et me demande s’il peut venir le lendemain à 16h. Pas de soucis, je lui dis que je souhaite franchement le revoir. Je dois avouer que j’ai envie d’aller plus loin avec lui (et
honnêtement avec sa grosse bite).

Le lendemain 16h, il sonne à ma porte, toujours habillé en costume cravate. Immédiatement, il me prend dans ses bras et m’embrasse tendrement. Rapidement, nous sommes assis sur mon canapé, on
s’embrasse et on se caresse langoureusement. Puis, je défais un à un les boutons de sa chemise et commence à câliner son corps de mes mains, pendant que lui me caresse le dos, puis descend
hâtivement sur mes fesses.

Je ne résiste pas longtemps à glisser une main vers son entrejambe pour deviner son excitation.
En effet, je discerne bien sa magistrale et imposante érection.
Ca me rend fou de désir, je lui dis :
- on déplie le clic-clac ?
- oui, avec plaisir, on sera mieux.
- on va se mettre à l’aise aussi.

On se déshabille et je remarque son boxer déformé pas son énorme zob. Ensuite, on se retrouve allongés nus sur le clic-clac et je m’allonge sur lui tout en continuant à l’embrasser. Je ressens la
taille superbe et désirable de son chibre contre le mien, qui parait tout petit à côté. Je ne peux pas me retenir de descendre très vite vers son bel objet. A genoux entre ses jambes, je le
dégage de son carcan. Il apparaît épais, très dur, en grande forme. Avec ma bouche, je me jette sur son zob pour le sucer. Mais ma bouche est toujours trop petite pour le prendre en entier. Je me
contente de le lécher et de suçoter le gland gonflé et rouge comme une grosse fraise. Mes mains accompagnent les mouvements de ma bouche pour le branler. Il gémit :
- oui, c’est bon !

Je change de position, je m’allonge sur le côté en position 69. Je reprends ma savoureuse fellation et j’aimerais qu’il fasse pareil mais il n’en est rien. Il va se concentrer sur mes fesses, les
caresser et les étreindre gentiment. Un de ses doigts humectés de salive va même titiller mon anus et tenter de pénétrer dans mon intimité. Je vais lui faciliter la tâche en me cambrant encore
plus et en m’offrant entièrement à ses douces cajoleries. Mon cul ainsi excité, mon désir augmente rapidement. Cette fois-ci, je veux que Jamal me pénètre de son gros membre. Et même si l’envie
me taraude le bas ventre, j’ai un peu peur, vu la taille de sa queue.
Je lui pose la question :
- tu veux me prendre ?
- oui, j’ai envie, mais on va aller doucement. Je ne veux pas te faire mal.

Je sors préservatifs et gel. Je lui tends une capote qu’il met, moi je m’enduis abondamment la raie du cul de lubrifiant. Je lui demande de s’allonger sur le dos, de sorte que je contrôle la
pénétration. Alors, il s’allonge la queue enveloppée et bien lubrifiée. Je le chevauche et prends sa queue dans ma main. Je la sens énorme et extrêmement dure. Je la pose délicatement sur mon
anus brûlant. J’essaie que sa queue entre en moi. Mais la tâche est très délicate. Le gland écarte les replis de mon trou. Aie ! Ca me fait mal. Mais je vais faire très doucement et, au bout de
quelques minutes, en prenant toutes les précautions, très lentement, petit à petit, son gland ouvre mon anus. C’est gros, je sens mon cul largement dilaté, mais finalement, la sensation est
terriblement agréable.
Je respire fort et essaie de me détendre au maximum pour aller encore plus loin. Après de longues minutes, je me sens totalement rempli, je pense que je ne peux pas en rentrer plus. Je stoppe la
pénétration pour que mon conduit se fasse à la largeur de son gourdin. Je me sens totalement ouverte, je souffle fort.
Jamal gémit de bonheur et il dit :
- vas-y, fais-toi du bien !

Avec prudence et très lentement, je vais commencer les va-et-vient prudemment. C’est terrible, le plaisir est immense. Mon cul se met à remuer impudiquement sur sa bite. Je geins de bien-être.
Jamal va me mettre une main devant la bouche pour éviter que j’ameute tout l’immeuble.
La jouissance va venir rapidement, mes mouvements deviennent de plus en plus frénétiques. Je ne ressens plus que sa bite dans mon cul, j’ai l’impression qu’elle me remplit pleinement le corps.
Maintenant, je glisse sur son sexe profondément. Et, dans un dernier cri, à peine retenu par sa main devant ma bouche, je jouis en déversant une grande quantité de sperme sur son ventre.
Mon corps est pris de violentes convulsions. Je connais un véritable orgasme qui m’irradie le corps tout entier.

Puis, tout s’arrête, le silence se crée et enfin, il se retire de moi et je m’écroule à ses côtés, épuisé, mais comblé de satisfaction. Je vais mettre plusieurs longues minutes à reprendre mes
esprits. Quand je reviens à moi, je comprends, en voyant sur la table basse un préservatif rempli de sperme, que Jamal a joui aussi, mais en silence. Enfin… Je crois, je n’ai pas fait attention
tellement j’ai pris de plaisir. Il me sourit et m’embrasse à nouveau avec une infinie tendresse. Il se lève et se rhabille hâtivement.

Après, il vient vers moi, je suis toujours allongé sur le clic-clac, en pleine extase, il me donne un dernier baiser en me disant :
- merci, c’était merveilleux, vraiment… Tu me plais beaucoup, j’espère te revoir bientôt.
- quand tu veux.
- bisous à bientôt.
- oui, à bientôt.

Un tout dernier baiser, puis il part.

A ce jour, il n’a pas encore rappelé.

Dim 24 nov 2013 3 commentaires

Le concierge du lycée

Il m’est arrivé, il y a longtemps et bien avant de connaître la sodomie à fond, de fantasmer, m’imaginant en train de me faire violer par un homme après l’avoir sucé. Sucer la queue d’un homme est une expérience qui revient souvent dans mes fantasmes mais sans que j’aie jamais osé faire la moindre démarche pour cela. C’est le principe du fantasme : ça s’imagine. De toute façon, durant mon adolescence, trop d’appréhensions et une énorme timidité m’ont toujours empêché de tenter quoique se soit en la matière.
Un jour, il était environ 17 heures et j’ai eu envie de m’exciter en lisant quelques histoires érotiques. J’en ai lu plusieurs qui m’ont bien excité et notamment celles  qui racontaient l’expérience réelle ou inventée d’un homme qui pour la première fois avait fait l’expérience de la sodomie et qui en avait retiré un plaisir extraordinaire.
C’est donc bien excité que j’ai décidé d’aller me soulager en me masturbant dans les toilettes du lycée.
Au moment où je pousse la porte des toilettes je m’aperçois que le concierge chargé de l’entretien des toilettes est devant un lavabo en train de se laver les mains. Je passe derrière lui et rentre dans une des deux toilettes en refermant derrière moi.
Je baisse mon pantalon en essayant de ne pas faire trop de bruit, je prends 2 ou 3 feuilles de papier, je m’en entoure le sexe pour ne pas risquer de tacher mes vêtements et commence à me masturber doucement en me remémorant les passages les plus croustillants des histoires que je viens de lire.
Il ne s’était pas passé plus de 45 secondes que j’entends qu’on frappe légèrement à la porte. Surpris, j’arrête tout et je m’immobilise pour rester dans un silence complet. J’hésite à répondre, étonné que quelqu’un puisse frapper à la porte de toilettes occupées. J’ai d’abord cru à une erreur, que quelqu’un avait tapoté à la porte en passant sans penser que les toilettes était occupées mais lorsque j’entendis « allez, ouvre moi » mon cœur a bondi dans ma poitrine. Interloqué, ne sachant que répondre j’attends toujours en silence lorsque j’entends de nouveau « allez ouvre moi, je sais que tu te branles ».
Affolé, tout honteux je ne dis toujours rien, tout simplement parce que je ne sais pas quoi dire, lorsque j’entends, sur un ton plus ferme, « laisse moi rentrer ou je dis à tout le monde que tu te branles dans les chiottes ».
Alors là, je m’empresse de remonter mon pantalon, je me réajuste, je tire la chasse d’eau et j’ouvre avec la ferme intention de nier indiquant que j’étais tout simplement sur le trône en train de chier et que ces élucubrations n’avaient aucun sens.
Au moment ou je commence à entrouvrir la porte, je sens de l’autre coté une poussée du concierge qui se lavait les mains lorsque je suis arrivé me pousse vers le fond des chiottes et referme la porte derrière lui.
Alors c’était bon ? Me demande t’il.
Trop surpris par son intrusion je ne réponds pas immédiatement et il me dit « c’est pas la peine de nier, je t’ai entendu, d’ailleurs tu bandes encore » et à ce moment, il met sa main sur mon pantalon à l’endroit ou effectivement mon sexe encore à moitié tendu fais une légère bosse.
Il me dit encore « écoute, tu m’obéis, tu fais tout ce que je te demande et je te jure que je ne dirais rien à personne ».
A ce moment, j’ai conscience que j’aurais pu m’en tenir à ma résolution de tout nier et de le traiter d’obsédé sexuel et de le menacer de lui faire une réputation de pédé qui vient harceler les élèves jusque dans les toilettes. Je suis convaincu qu’il n’aurait pas pris le risque et qu’il m’aurait rapidement foutu la paix. Mais voilà, me trouver dans cette situation, partagé entre la honte et une certaine excitation, je n’ai pas dit ce que j’avais l’intention de lui dire. Sans vraiment encore savoir pourquoi je me suis entendu lui répondre « d’accord mais n’en profite pas ». Après coup je me dis que dire « n’en profite pas » était particulièrement absurde dans cette situation mais l’émotion peut faire dire n’importe quoi.
Le fait de prononcer ces paroles a été pour moi comme si je m’étais débarrassé brusquement de ma personnalité pour me livrer complètement aux désirs de cet homme.
Je ne sais toujours pas comment j’ai pu si facilement me laisser faire, probablement parce que mes lectures d’histoires érotiques avaient ravivé mes fantasmes et certainement aussi parce qu’il était aussi sur le point de partir en retraite.
Je sentais peut être intuitivement que c’était pour moi l’occasion d’assouvir ce vieux fantasme de soumission par un homme et que si je réfléchissais trop j’allais peut être passer le reste de ma vie à le regretter.
« D’accord, ne t ‘inquiète pas, tu verras je suis certain que tu trouveras ça très agréable » m’a t’il répondu. « Allez enlève ton pantalon ».
Dans un état presque second j’ai enlevé mon pantalon en prenant soin de le plier et de le poser dans un coin. Puis rapidement, il a baissé mon slip jusqu’à mes chevilles. Il m’a fait asseoir, les fesses nues sur le siège dont le battant avait été rabattu. Il a baissé son pantalon et exhibé un sexe assez long et bien épais qu’il a présenté à ma bouche en me disant « suce moi ».

Drôle de sensation, très excitante, il bandait bien et je me suis surpris moi même à essayer de bien faire les choses en le masturbant doucement et en serrant mes lèvres le plus fermement possible sur sa hampe tout en lui caressant doucement les couilles de l’autre main.
Il semblait apprécier, il a commencé par me dire « c’est bon continue, tu suces comme une vrais salope, c’est bon ». Au bout de quelques minutes je l’ai senti se durcir de plus en plus et il m’arrêté d’un geste. Il m’a dit « tu vois que ce n’est pas si désagréable que ça et maintenant passons aux choses sérieuses ».
Il n’était pas très difficile de deviner ce qu’il entendait par là. Mais je ne lui répondis pas, j’étais de toute façon incapable de dire un mot.
A sa demande, je me suis levé puis il m’a retourné et en m’appuyant sur le dos m’a fait pencher, les mains posées sur le battant des toilettes. Cette position, le cul en l’air, offert, à provoqué en moi une brusque montée d’excitation. Enfin j’allais assouvir mon fantasme, découvrir la sodomie ! Mais en même temps j’avais honte, j’étais entièrement soumis et j’appréhendais : est ce que j’aurais mal, est ce que j’allais en retirer du plaisir ?
Je lui ai dit « doucement, je ne l’ai jamais fait » et il m’a répondu « y a un début à tout ».
Son ton a commencé à se durcir lorsqu’il m’a dit « tends bien ton cul et détends toi ». Puis il s&rsqu

lailatvx - le 25/11/2013 à 04h25

on attends la suite

Mercedestv - le 27/11/2013 à 09h19

Dilatation anale d'un soumis (vidéo):

http://xhamster.com/movies/2032198/spiky_heels_and_latex_boots.html

lailatvx - le 27/11/2013 à 10h33