Mercredi 12 février
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17:55
J'ai trouvé ce texte extra, et j'ai demandé a Marc, si je pouvait le mettre sur mon site, sa réponse; OK vas y,
merci Marc.
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Il fait chaud dans cette
chambre, odeurs de cuir, de poppers et de pisse...
Je suis en sueur et inondé de ton urine tiède, allongé sur le sling, les jambes attachées le long des chaines.
Mes yeux sont clos derrière le bandeau serré...la musique new-age est en sourdine...
Juste une attente, une attente fébrile que tu me touches... tes doigts, enfin, se posent, à peine, sur mes tétons, une caresse... Ils frémissent et se
dressent, durs, espérant être saisis, roulés, tirés du bout de tes doigts...
Tu devines mon désir et commences à les travailler, les tordant, les tirant, de plus en plus fort, le plaisir-douleur me fait crier, mon corps est arc-bouté, ma
queue raide est proche d'exploser tant sa connexion avec mes seins est intense.
Je te sens te glisser entre mes jambes, tes doigt toujours sur mes tétons, tes lèvres, ta bouche, ta langue, caressent mon sexe rigide, vibrant... Tu me fais
gémir... ta bouche reculant vers mes testicules les gobe et les tire en arrière... c'est bon... tu peux tirer encore plus fort...je bande pour toi et par tout ce que tu me fais endurer.
Ta bouche à lâché mes couilles, et je sens ta langue, glissant vers mon oeillet mauve et ensué, ta langue douce et humide et chaude, force mon anus serré et
palpitant.
Un arrêt... je reste désirant, inassouvi.....
Une enveloppe de capote qu'on déchire, le léger bruit crissant du latex étiré, la fraîcheur du gel dont tu m'enduis le cul, et immédiatement ta queue au gland que je connais si
bien, rond et large vient s'appliquer à ma rondelle lubrifiée. Tu me pénètres sans forcer, tu es chez toi, dans ce canal chaud et doux, humide et glissant, qui se serre
sur ton membre bandé. Tu me limes lentement, profondément, collant à chaque poussée, ta toison de poils très noirs contre mes couilles mouillées de
sueur.
Tu viens plus près et te penches sur moi... tes baisers, nos baisers dégoulinent de salive dans mon cou, je la sens ruisseler dans mon dos entre le cuir du sling et ma peau...
je peux enfin attraper tes tétons, les serrer fort entre mes doigts et, toi me baisant, te maintenir courbé vers moi, gémissant à la torture que je leur
inflige.
Je sens ton excitation monter, tes coups de rein perdent de leur régularité, et tu continues de me pénétrer puissamment. Je sens que tu voudrais pouvoir rentrer plus encore en moi. Mon
cul, plein ouvert, dégouline de lubrifiant et produit des bruits de succion humide pendant que tu me baises si bien... Moi aussi, je te voudrais complètement en
moi.....
Tu te retires... as-tu joui ? tu n'a pas crié ! De nouveau la fraîcheur
du gel sur mon cul... et tes doigts qui viennent jouer avec les parois de mon anus, presser ma prostate excitée, et pénètrent progressivement... deux puis trois... et la
paume, pouce plié, ta belle main, je la sens appuyer sur l'entrée de mon cul. Tes mouvements sont lents, doux, ils maintiennent juste une pression, pour que le
muscle relaxé, rassuré, se relâche enfin... et, soudainement, à peine une légère douleur, ta main, glisse en moi jusqu'au poignet, déclenchant un gémissement de
bonheur, tant le plaisir est fulgurant...
Puis pendant un moment, ta main immobile, percevant mes spasmes de plaisir, me laisse goûter le bonheur d'être empli de toi, d'être une part de toi... Toutes mes sensations
sont centrées sur cette caverne que tu emplis si bien, où je sens tes doigts commencer à se mouvoir, où ton avant bras, merveilleux piston, veut maintenant te faire pénétrer
plus à fond, où tes doigts explorent la douceur de mon velours pourpre vibrant sourdement des pulsations de l'aorte dorsale. Mon bassin accompagne tes mouvements et le plaisir irradie dans
tout mon coprs qui n'est que jouissance...
Cela pourrait durer des heures, peut être.... mais je n'ai plus la notion du temps...
Et je sens ta bouche se coller à ma queue, et très vite la liqueur lourde et visqueuse de mes couilles monte et explose dans ta bouche, pendant que mon anus se resserre violemment sur
ton poignet....
Tu te retires avec douceur, me laissant pantelant secoué de l’anus au phallus par les spasmes d'un foudroyant orgasme
Tu n'as pas joui.... pour, dans un moment, me laisser te donner le bonheur que je viens de vivre..
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