Masturbation et godage
Comme moi, pas mal d'hommes ont une activité solitaire. Soit en regardant des vidéos, soit en se faisant son film dans la tête, ou devant une camera ou une tierce personne. Aussi loin que je
me
souvienne, j'ai toujours aimé la masturbation. Il y eut même des moments torrides durant lesquels j'abusais. Des moments où je me vidais, je m'épuisais à force de m'astiquer.
J'aime beaucoup allier deux plaisirs, masturbation et sodomie. Se branler tout en se faisant enfiler ou en s'enfilant un gode, c'est un truc agréable. J’apprécie particulièrement les orgasmes
déclenchés uniquement pas la sodomie. C'est parfois long mais toujours une délectation. Si en plus on joue à retarder le plus possible l'explosion, c'est un régal.
Je me souviens de moments mémorables avec hommes et femmes, le plaisir est aussi intense. Ma femme Nadia elle-même adorait me faire jouir de cette façon. Soit en utilisant un gode ceinture
mais
le plus souvent en maniant le gode à la main, c'est plus précis pour bien stimuler la prostate. Et là, je grimpais au rideau. De longues minutes, voire des heures à me faire travailler la
rondelle, la queue tendue à mort, le plus souvent les couilles liées à un anneau autour de la tige. Mon gland tout décalotté qui goutte sur le sol ou sur le drap. Mon cul qui est ouvert, le
trou
gras et qui coule lui aussi. Je ne sais pas pour vous mais quand on me travaille bien le fion, je me mettais à mouiller énormément. Et je sentais monter en moi la chaleur du plaisir, je me
cambrais, offrant mon cul comme une chienne. Puis la sensation de la goutte qui monte dans la queue, la perle qui se créé, poussée par une autre goutte, un long fil se met à pendre. Petit à
petit, l'écoulement devient permanent.
Ma femme Nadia m'insultait, me traitait de pute, de salope, de pédé, d’époux soumis et cocu tout en me défonçant le cul. Quand je dis défoncer, c'est
bien sûr sans douleur aucune. Graissé et ouvert je n'avais que le plaisir et le gland du gode qui semble vouloir faire sortir ma prostate de mon ventre. Je sens le raclement avec acuité. Je
gémis, me cambre. Je me sens vraiment femelle. Je deviens « lailatvx » le mari lopette et non Karim, l’époux mâle. Et ma queue qui ne cesse de couler. Le sol est tâché de petites
flaques au début transparentes mais de plus en plus laiteuses au fil des minutes. Et puis je sens mon zizi qui s'agite, qui se tend, il palpite. Chaque entrée du gode fait tressauter mon
clitoris. J'ai chaud, le rouge aux joues. J'ai une envie folle de baiser ma femme pour me vider. Mais je résiste. Je n'ai pas le droit, elle veut me voir gicler sans me toucher. Elle accélère
les
coups de gode, je suis concentré, mon esprit est dans ma queue. Je ne pense plus qu'a çà. Je me vois dans le miroir. Trempé de sueur, les poils collés. Je suis une lope, une grosse pute. Dans
cet
état, 10, 15, 20, 50 mecs ne me font pas peur. Ça monte… Mes couilles sont rétractées dans mon ventre à la base de ma tige qui vibre comme un mat par grand vent. Le gode me fouille. Il va de
plus
en plus loin, il entre et sort de moi alors que mon anus est ouvert.
Et puis tout bascule. Un cri. Une contraction monumentale dans mon ventre. La montée du sperme dans l'urètre est comme une brûlure. La pression est si forte. Mon jus gicle à 1m50 sur le
parquet,
puis une nouvelle giclée, puis une autre… Je crie… Oui vraiment. Alors que les giclées se succèdent…
Habituée, ma femme retire le gode vivement, je pousse et reste béant tandis qu'elle prend ma queue luisante dans sa main. Elle me branle. Ses doigts serrés sur ma tige. Son autre main
agrippe mes
couilles. Elle me décalotte violemment à chaque fois. Nadia sait que je vais réussir à jouir encore. Elle sait qu'il faut me forcer. J'ai mal, je l'avoue mais putain, j'aime!! Ma queue est
couverte d'une mousse blanche. Je tremble, je me tétanise, la main ralentit, s'arrête, me laissant au seuil de l'explosion. La salope veut que je la supplie. Elle me titille le gland, frotte
le
dessous. Mes mains sur la nuque. Je donne des coups de reins pour l’obliger à me faire gicler. Rien a faire.
Ma chérie me laisse ainsi. Cette fois, elle s'amuse comme une folle. Elle me reprend en main. Doucement, elle me branle. Je n'en peux plus. Elle recommence à s'arrêter. Je suis vraiment sur
les
nerfs!! Et là, c'est pire que tout. Me serrant la queue a mort dans ses doigts, elle passe juste son pouce sous mon gland, frottant doucement. Arrêt, départ, arrêt, départ… Je hurle en lui
demandant de me finir, je baisse les mains pour me branler, elle les éloigne. Et reprend son massage. Et moi, secoué de spasmes… Je vais jouir…. Je vais gicler a nouveau…Et là, ma femme
arrête
net. Mon sperme coule comme d'un robinet. Elle a cassé l'orgasme. Je me vide mais je reste sur ma faim. Je gueule tout mon saoul. Nadia m'empêche de me branler à nouveau, en tenant mes mains
et
en me faisant coucher sur le dos. Elle plaque alors sa croupe sur ma bouche. Sa chatte trempée sur mon nez. M'ordonnant de lui bouffer la moule jusqu'à ce qu'elle jouisse et pisse sur
moi !
Quel plaisir!!
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Ma passion pour la dilatation anale, que ce soit par différents objets, ou simplement une main, pour me fister, je décrit ici les principes et la plaisir a subir ce genre de trip, en
photos et conseils.
J'aime aussi le travail des seins, que je pratique, sur moi ou en réciproque, comme pour le fist
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